Depuis la fin 2021, l’univers des taux d’intérêt connaît un changement de paradigme radical : les banques centrales ont renoncé à leur politique de taux zéro, tandis que les emprunts d’État ont enregistré leur plus forte hausse de rendement ainsi que leur plus forte baisse de prix depuis la fin des années 1970.
Les investisseurs ont aujourd’hui face à eux un choix de plus en plus large d’opportunités de revenus attractives, tant au sein de la classe d’actifs obligataire que dans d’autres instruments. Toutefois, ce qui était considéré comme sûr jusqu’en 2022 pourrait ne pas l’être autant à l’avenir compte tenu de la hausse du coût de la dette et donc des inquiétudes liées à la viabilité de celle-ci à long terme.
Se positionner pour profiter des rendements obligataires réels (hors inflation) les plus élevés depuis au moins 2011 constitue également un choix intéressant pour les investisseurs conservateurs, afin de capter un niveau de revenus généreux et protégé contre l’inflation sur les prochaines années.